Auto Edition, Blandine P.Martin, Non classé

#RESSENTI LECTURE/ WILD THING (Auto-Edition)

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Résumé :

Deux âmes sœurs peuvent se croiser un milliard de fois sans même se voir, trop aveuglés par leur propre douleur. Et puis vient le temps d’une seconde chance.

Rongé par son passé, il tente de ne pas sombrer.
Vingt ans déjà qu’il porte le blouson des Wild Crows, sa seule famille. Pour eux, il est prêt à tout sacrifier.

Quand l’une des filles du club se trouve menacée, le président le charge de veiller sur elle et son fils. Gale va devoir mettre de côté son indépendance au risque de se perdre lors de ce rapprochement forcé. Les secrets inavoués finissent toujours par éclater au grand jour.

Face au danger qui rôde, les Wild Crows devront rappeler à tous que les corbeaux ne sont pas morts.

Ils vont reprendre la place qui leur est due, même s’il faut pour cela renouer avec de vieux démons.

 

Disponible en Ebook et en Papier 

Mon ressenti

C’est avec « Hurt » de Johnny Cash aux oreilles que je pose mes mots sur cette histoire. Cette chanson et les paroles qui la composent représentent tellement son histoire à LUI.

Un spin-off de la saga des Wild Crows (le dernier) que j’attendais avec tellement d’impatience ! Il allait me permettre d’en savoir plus sur LUI, de pouvoir m’infiltrer dans sa tête et son âme écorchée.

Parce qu’il y a des personnages qui vous touchent et qui vous marquent profondément.

LUI, c’est Gale.

Celui qui depuis le début de cette saga avait touché mon cœur. Un crush immédiat pour ce personnage secondaire qui prenait déjà une grande place dans ma tête.

Je ne vous explique pas ma joie quand j’ai su que ce dernier opus, cette dernière page tournée sur cette famille de bikers serait marquée par son histoire.

Gale c’est ce mec qui m’a tout de suite captivée par son côté si énigmatique, mystérieux et insaisissable. Amoureux du danger, sans attache et avec cette violence dans le regard c’est un homme rempli de colère et de remords. Un mal-être rongé par le poids du passé et la culpabilité qui emprisonne son âme. On est touché par l’équilibre instable qui rythme sa vie, entre les combats, véritable garde fou des fantômes qui le hantent, et sa dévotion pour le club.

Mais il va suffire d’un rapprochement forcé, une cohabitation qui va le sortir de sa zone de confort et faire ressurgir des secrets du passé pour mettre sur sa route celle qui va réussir à dompter ce loup solitaire torturé et à fleur de peau.

Tiraillés tous les deux entre attirance sincère et la réalité du club, ils nous entraînent dans une intrigue intense et captivante. La dévotion et la force d’une mère prête à tout pour protéger son fils face à l’environnement et au quotidien dangereux de cet univers menacé par la grande faucheuse.

Une promiscuité qui nous permet de découvrir une facette de Gale qui m’a complètement conquise et qui reflète tellement les WC. Sa loyauté, sa fiabilité, son côté protecteur et sa bienveillance envers les siens.

Quel plaisir de retrouver cette famille avec tous les personnages qui nous ont fait vibrer tout au long de leurs aventures. Un univers biker maîtrisé à la perfection avec ses us et coutumes, sa dangerosité et ses codes.

Blandine avec cette plume si fluide et si addictive m’a procurée beaucoup d’émotions avec cette cette histoire touchante et empreinte de nostalgie. Elle a cette capacité de réussir à m’embarquer et m’immerger dans son univers, avec ses personnages. J’ai toujours cette impression de faire partie du décors, d’être avec eux, de vivre le moment.

Dans ce spin-off qui clôture de façon magnifique cette saga on ressent tout l’amour, l’énergie et l’émotion que Blandine a mis dans son écriture. On arrive à ressentir ce lien indéfectible qui unit l’auteur à son histoire.

Une saga que je vous conseille de découvrir et des spin-off que je vous invite à lire dans leur chronologie. Une famille dur à quitter, des « corbeaux » qui auront encré mon cœur et que je vais avoir du mal à laisser s’envoler…

Extraits :

« Quand on laissait les corbeaux entrer dans son cœur, on ne pouvait plus les en déloger, qu’importait la noirceur qu’ils pouvaient y laisser planer »

« Je préférai ne pas empiéter sur sa liberté, c’était ce qui le définissait après tout. Un corbeau ne se bridait pas. Au mieux, on tentait de s’accrocher à ses ailes pour ne pas tomber en plein vol »

A très vite – Kiss Kiss 💋💋Blondie

 

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